Consulter  n’est pas une démarche facile. 

Il s’agit de prendre conscience, au moins partiellement, d’une forme de mal-être psychique, ce qui peut être difficile à accepter.

Vous ressentez des difficultés dans la sphère privée ou dans votre travail, ou bien votre enfant vit un moment compliqué, vous vous posez des questions sur le sens à donner à ce que vous traversez.

Peut-être souhaitez mieux comprendre votre façon d'être, repérer les fonctionnements qui vous brident, afin de renouer avec une vie plus sereine.

Vous êtes francophone expatrié(e), confronté(e) à des incompréhensions culturelles, à l'éloignement des proches ou au mal du pays. Mon expérience similaire d'expatriation, ajouté au fait de pouvoir échanger dans votre langue maternelle et de partager les mêmes références culturelles rendra votre thérapie plus limpide, vous permettant de retrouver confiance et apaisement, ou d'accompagner votre enfant pour une adaptation plus sereine de son nouvel environnement. 

 

On a naturellement tendance à minimiser ce qui ne relève pas d’une « vraie maladie », à penser que cela va passer tout seul, à présumer de ses forces. Il faut également accepter l’idée de se faire aider par quelqu’un que l’on ne connaît pas, alors que la tendance naturelle serait de parler d'abord de ses difficultés à ses proches, sa  famille, ses amis. Et pourtant, malgré leur bonne volonté et leur écoute, les proches ne sont souvent pas les mieux placés pour vous aider. Les troubles psychiques nécessitent en effet une écoute objective, une certaine distance affective que les proches n’ont pas et qui requièrent l’aide d’un professionnel: psychologue, psychothérapeute, psychiatre, ou bien psychanalyste.

Franchir ces deux premiers obstacles est donc difficile, mais si vous avez pris la décision d’aller consulter, c’est un bon début.

 

Quelle méthode?

Qui aller voir : psychologue, psychothérapeute, psychiatre ou psychanalyste? Tous ont vocation à traiter les troubles psychiques, mais pas nécessairement exactement les mêmes, (par exemple un malade affecté de troubles psychotiques graves doit impérativement être pris en charge par un psychiatre), et surtout pas de la même manière. La différence relève essentiellement de la méthode de traitement. La méthode psychanalytique, qui est celle que je vous propose, vise à remonter à l’origine, souvent inconsciente et conflictuelle, des troubles psychiques et à renforcer vos défenses contre ces conflits pour vous aider à mieux les gérer et faire en sorte qu'ils ne vous empêchent plus de vous épanouir, afin que vous retrouviez une meilleure relation avec vous-même et avec les autres.

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Une psychothérapie pour découvrir le contenu de son inconscient et être libre d'y répondre, ou non.

La psychanalyse ne s'intéresse donc pas uniquement aux symptômes, mais repose sur un travail en profondeur, pour essayer de dénouer ce qui est à l'origine de ces symptômes, ce qui ne signifie pas nécessairement qu’elle implique un traitement très long.

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Pour finir, quel que soit le type de soutien ou de traitement qui vous convient, la relation de confiance que vous allez entretenir avec votre « psy » est essentielle. C’est pourquoi je vous invite à venir me rencontrer à mon cabinet pour une première séance gratuite de prise de contact. Vous pourrez bénéficier, dans une écoute bienveillante, de ma connaissance approfondie des problématiques liées à l'identité et aux transitions internationales.

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