Consulter  n’est pas une démarche facile. 

 

Il s’agit de prendre conscience, au moins partiellement, d’une forme de mal-être psychique, ce qui peut être difficile à accepter. 

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• Vous ressentez des difficultés dans la sphère privée ou dans votre travail, ou bien votre enfant vit un moment compliqué, vous vous posez des questions sur le sens à donner à ce que vous traversez. 

• Peut-être souhaitez mieux comprendre votre façon d'être, repérer les fonctionnements qui vous brident, afin de renouer avec une vie plus sereine.

• Vous êtes francophone expatrié(e), confronté(e) à des incompréhensions culturelles, à l'éloignement des proches ou au mal du pays. Mon expérience similaire d'expatriation, ajouté au fait de pouvoir échanger dans votre langue maternelle et de partager les mêmes références culturelles rendra votre thérapie plus limpide, vous permettant de retrouver confiance et apaisement, ou d'accompagner votre enfant pour une adaptation plus sereine de son nouvel environnement. 

 

• On a naturellement tendance à minimiser ce qui ne relève pas d’une « vraie maladie », à penser que cela va passer tout seul, à présumer de ses forces. Il faut également accepter l’idée de se faire aider par quelqu’un que l’on ne connaît pas, alors que la tendance naturelle serait de parler d'abord de ses difficultés à ses proches, sa  famille, ses amis. Et pourtant, malgré leur bonne volonté et leur écoute, les proches ne sont souvent pas les mieux placés pour vous aider. Les troubles psychiques nécessitent en effet une écoute objective, une certaine distance affective que les proches n’ont pas et qui requièrent l’aide d’un professionnel: psychologue, psychothérapeute, psychiatre, ou bien psychanalyste.

 

Franchir ces deux premiers obstacles est donc difficile, mais si vous avez pris la décision d’aller consulter, c’est un bon début.

 

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